multiface
Il y a celle que je suis et celle que je suis obligée d’être
Il y a celle qui sourit et celle qui est obligée de le faire
Il y a celle qui aime à se perdre dans la nuit et celle qui doit se lever tôt
Il y a celle qui rêve de tendresse et celle qui voit le quotidien
Il y a celle qui marche en confiance et celle qui se terre au loin
Le poids de l’une arrime l’autre à la terre. Elle la hait de l’empêcher de voler. Elle l’aime de l’empêcher de se noyer. Elle la hait de ne pouvoir avancer. Elle l’aime de la faire rêver.
Elles se sont appris à survivre. Elle s ne peuvent exister l’une sans l’autre. J’ai bien essayé de les séparer. J’ai bien failli y passer. Mais il ya des jours comme ces jours-ci où j’ai du mal à les gérer…
Bon, si c’est pas de la crise existentielle ça … (et encore j’ai simplifié hein !!!)
(et le 1er qui me sort la crise de la quarantaine du placard se prend une baffe … ;-p…)